Seule la transmission volontaire du VIH par une personne se sachant séropositive est punissable pénalement en France. Lors du procès des viols de Mazan, la révélation de la séropositivité d’un accusé a suscité l’émoi, bien que sa charge virale indétectable empêchait la transmission. La loi ne sanctionne pas l’exposition au risque, même dans des circonstances moralement répréhensibles.